Certaines sorties rétro de la semaine ont déjà été abordées, Blasphemous (PC, Xbox One, PlayStation 4, Switch) et Sydney Hunter and the Curse of the Mayan (Steam, Switch).
Source : Indie Games Plus
Source : Indie Games Plus
Source : Indie Retro News
Source : Indie Games Plus
The New Dimension
Source : Indie Retro News
Source : Indie Retro News
WATER SKI (PS4)
(arcade, 1983)
Catégorie : sport
Joueurs : 1-2 (alterné)
Éditeur : Taito/Hamster
Date de sortie PSN : 10/09/2019
Prix : 6,99 €
Page du jeu : [Water Ski]
Dans la lignée de son Adventure Canoe (1982), Water Ski est comme son nom l’indique un jeu de ski nautique qui se démarque logiquement des autres jeux de course par son inertie. Le joueur dispose d’un bouton pour ralentir le bateau et d’un autre pour sauter au-dessus des nombreux obstacles, sachant que les rochers trop hauts devront être obligatoirement esquivés… Histoire d’égayer un peu le tout, on croisera parfois un aileron de requin accompagné de la musique attendue, mais aussi des rampes. Celles-ci permettent d’engranger des points de bonus à condition de s’y engager bien droit et de sauter au bout car, en cas de chute, vous perdrez au contraire un temps précieux.
Source : Indie Retro News
TRACK & FIELD (Switch)
(arcade, septembre 1983 au Japon)
Catégorie : sport
Joueurs : 1-4 (2 simultanément)
Éditeur : Konami/Hamster
Date de sortie eShop : 12/09/2019
Prix : 6,99 €
Page du jeu : https://www.nintendo.fr/…TRACK-FIELD-1641021.html
Bien qu’Olympic Decathlon (1980) et The Activision Decathlon (1983) soient sortis avant et présentent un gameplay relativement similaire (ici deux boutons de course à alterner et un bouton de saut), Track & Field (1983) a longtemps été la référence en la matière, et en tout cas la plus influente. Avec le recul, le titre peut sembler chiche puisqu’il n’offre que six épreuves (et le saut en hauteur n’est pas terrible), mais il n’est pas évident que les simulations d’aujourd’hui soient bien meilleures hormis en termes de contenu. Énorme succès à l’époque, sans doute en partie grâce aux jeux olympiques de 1984 (le jeu en avait même la licence officielle au Japon en tant qu’Hyper Olympic), il a été bien entendu porté sur à peu près tous les supports, et a fait l’objet d’un tournoi en 1984 réunissant plus d’un million de joueurs à travers le monde – record qui tenait encore en 2016. En revanche, il n’a longtemps eu qu’une suite de la part de Konami, Hyper Sports (1984).
