A l’occasion de notre retour à la Japan Expo sur notre propre stand en 2010, nous avons décidé de publier un petit compte-rendu quotidien du salon.
La seconde journée aura été excellente ; le stand n’a jamais désempli, et chaque poste de jeu ne sera resté que rarement inoccupé, et pour quelques secondes tout au plus. Comme nous le pressentions, le public était nettement plus intéressé par le travail mené par l’association, et nous avons eu l’occasion de la présenter à plusieurs futurs membres. Du moins on l’espère fermement !
Il est donc difficile de déterminer la machine qui a rencontré le plus de succès sur notre stand, même si la Virtual Boy aura piqué la curiosité d’un grand nombre de visiteurs, d’autant qu’il n’est jamais simple pour nous de la proposer dans les meilleurs conditions. Les utilisateurs de la machine maudite de Nintendo ont souvent l’air d’extra-terrestres, mais il faut bien dire que couplé avec les accoutrements typiques de la Japan Expo, cela donnait des résultats parfois… pittoresques.
L’autre évènement de la journée, c’était bien entendu la conférence animée par notre président Philippe Dubois, accompagnée pour l’occasion de notre indispensable Douglas Alves. Démarrée avec beaucoup de retard en raison des déficiences de la technique fournie par le salon, cette présentation sur l’Histoire des Jeux Vidéo n’aura pu être menée à son terme par manque de temps, mais aura connu un grand succès néanmoins.
La journée de samedi s’annonce chargée, dans la mesure où c’est traditionnellement le jour où l’affluence est la plus importante. La pluie n’a pas facilité la tâche des membres qui ne sont pas tous arrivés de très bonne heure, il faut bien le dire. Nous n’avons eu ainsi que très peu de temps pour tout installer avant la cohue. Heureusement, tout s’est déroulé sans accroc.
Cette matinée s’est aussi caractérisée par la venue de deux jeunes retrogamers qui souhaitaient tous les deux faire réparer leur NES, alors qu’ils ne se connaissaient absolument pas ! Bref, nous avons beaucoup de travail, et écrire ces quelques lignes dans le vacarme ambiant n’est pas une mince affaire…
A demain, donc !
A suivre…