Même si Chucky Mendoza and the Curse of the Pharaoh pourrait faire penser à Rick Dangerous, son créateur Thomas Schostok, alias {ths} déteste ce jeu et dément s’en être inspiré. Ses influences seraient plutôt à chercher du côté de classiques du Commodore 64 comme Spelunker, H.E.R.O., Pitfall II et logiquement Pharaoh’s Curse. Résolument old-school, ce jeu de plateformes ne vous laisse que trois chances pour explorer la pyramide, sans sauvegarde, ni didacticiel, ni aucune autre fioriture. Mais le développeur ne demande pas grand chose en échange de cette expérience minimaliste, puisque vous payez le montant que vous voulez à cette adresse, voire rien du tout si vous êtes vraiment radin ou méfiant…