TOY POP (PS4, Switch) (arcade, avril 1986 au Japon) Catégorie :run and gun Joueurs : 1-2 Éditeur : Namco/Hamster Date de sortie réédition : 13/10/2022 Prix : 6,99 € Page du jeu : [PS4], [Switch]
Premier titre de Takefumi Hyodoh en tant que producteur et game designer, après avoir œuvré notamment sur Battle City (1985), il devait au départ se dérouler dans un univers de science-fiction sous le nom de Space Alamo avant qu’on ne lui suggère d’opter pour quelque chose qui puisse aussi plaire aux petites filles. D’où Toy Pop (1986), situé dans un monde de jouets illustré par le légendaire Hiroshi Ono et accompagné d’une musique ragtime du non moins célèbre Junko Ozawa, et où l’on contrôle deux poupées, Pino et Acha. Dans la plupart des quarante-quatre tableaux en écran fixe appelés ici « boîtes », le but est de trouver les quatre cœurs en or ouvrant la porte du niveau suivant. Pour ce faire, on dispose d’un tir que l’on peut améliorer via des bonus cachés dans les nombreux paquets cadeaux, d’autant que certains ennemis peuvent nécessiter une arme plus évoluée. De temps à autre, le sorcier Mahou se joindra à eux et l’aventure est aussi ponctuée de stages bonus en vue de profil où l’on doit ramasser un maximum de pommes tombant de trois arbres. Reprenant le hardware 16-bit mais vieillissant de Libble Rabble (1983), le jeu lui-même alors désuet est passé plutôt inaperçu, n’étant porté à l’époque que sur micro-ordinateurs Sharp.
DARIUS (PS4) (arcade, janvier 1987 au Japon) Catégorie :shoot ’em up Joueurs : 1-2 Éditeur : Taito/Hamster Date de sortie réédition : 16/10/2022 Prix : 6,99 € Page du jeu : [PS4]
Premier volet d’une longue série, Darius (1987) s’est immédiatement démarqué de la concurrence, rude à l’époque, par trois éléments. Premièrement son triple écran, réalisé via un jeu de miroirs, réutilisé pour The Ninja Warriors (1987) la même année. Deuxièmement son univers aquatique dans lequel deux pilotes (Proco et Tiat, soit Taito Corp à l’envers), à bord de leurs emblématiques Silver Hawks, affrontent de gigantesques poissons et crustacés monstrueux. Et troisièmement, un embranchement après chaque boss, qui fait qu’à chaque partie on ne traverse que sept des vingt-huit niveaux disponibles, menant à des fins (parfois légèrement) différentes. Le système d’armement était aussi assez précurseur avec des missiles, des bombes et un bouclier, chacun boosté par des bulles respectivement rouges, vertes et bleues. Tous les sept bonus ramassés, chacun d’eux évolue et restera ainsi si l’on perd une vie. Néanmoins, une mort peut donc pas mal rétrograder l’équipement d’autant qu’elle renvoie à un checkpoint ; comme beaucoup de shoot ’em ups de l’époque, Darius se montre très difficile et parfois mal équilibré. De par son format habituel, il a été nettement moins porté que Gradius (1985) et R·Type (1987) et c’est surtout la PC Engine qui a eu droit à trois déclinaisons du titre, dont une, Darius Plus (1990), est aussi apparue sur micros.
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